avril 2024
Un plan pour l'aération
AÉRATION DES PIÈCES
Les enveloppes étanches des bâtiments nécessitent des échanges d'air précis pour éviter toute détérioration importante.
Les constructeurs de fenêtres et de façades ne doivent pas avoir peur de planifier l'aération. Voici comment faire.
Connexion
Merci de l’intérêt que vous portez à nos contenus. Les abonnés de la revue spécialisée metall trouveront le Login pour l’accès intégral dans les informations légales de la version imprimée actuelle. Le mot de passe change tous les mois.
Inscrivez-vous maintenant pour lire cet article. Inscrivez-vous pour lire les différents articles et payez très facilement par carte de crédit. (CHF 5.- par article)
En tant qu’utilisateur enregistré, vous pouvez accéder à tout moment à l’article acheté.
Si - en tant que professionnel dans les domaines de la construction métallique, en acier et de façades - vous n’êtes pas encore abonné à la revue spécialisée metall, ne perdez plus une seconde et souscrivez dès à présent votre abonnement ici.
Le problème de l'aération est rarement pris en compte, notamment lors de la restauration d'un bâtiment ancien, qui ne fait souvent intervenir aucun planificateur spécialisé. Il est lié à l'amélioration de l'étanchéité de l'enveloppe du bâtiment en raison de la rénovation énergétique. La suppression des « échanges d'air fondamentaux » n'est souvent pas compensée par l'utilisateur, car celui-ci n'a pas conscience du problème. Lorsque les occupants s'absentent pendant une longue période, les échanges d'air minimaux ne sont alors plus assurés, d'où des problèmes bien connus. Une aération autonome permettrait d'éliminer la première cause de prolifération des moisissures, à savoir une aération insuffisante et inefficace, et d'éviter une bonne partie des sinistres. De même, dans les constructions neuves, l'aération n'est en général pas planifiée systématiquement, mais laissée au hasard. Vérifier la nécessité d'un concept d'aération Les structures récentes, étanches à l'air, sont indispensables pour respecter les objectifs d'économies d'énergie. Ces dernières années, elles ont amené, associées à une modification des habitudes d'aération, une hausse du taux d'humidité dans les intérieurs. Des recommandations d'aération et des débats sur le nombre et la durée des courants d'air sont bien souvent insuffisants.
